maio 08, 2008

"Nous sommes prêts à négocier:
- retrait des forces de police du quartier Latin;
- libération et amnistie immédiate des étudiants condamnés ou poursuivis;
- leveé du lock-out des Facultés.
Em signe de bonne volonté, nous nous engageons à faire en sorte que la manifestation prévue pour ce soir soit la moins violente possible"
(Les trois revendications de Alain Geismar avant l'ouverture des négociations, Combat, 8 mai 68)
"Nous comptons être ce soir dans une Sorbonne libre. Il appartient au gouvernement de dire s'il veut que ce soit pacifiquement"
(Alain Geismar, sécretaire général du SNES, Combat, 8 mai 68)
"La révolte, NON; la révolution, OUI"
(Un étudiant de la Sorbonne)

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