"Nous avons été odieusement trompés au cours de la nuit par un gouvernement qui ne voulais que gagner le temps nécessaire pour lancer ses chiens de garde en l'absence de témoins. Les brutalités policiéres, les moyens emplyés, grenades incendiaires, au chlore, l'encerclement du dérnier réduit étudiant sont la marque de la volonté d'écraser dans le sang notre mouvement. Les yeux de nombreux parisiens se sont ouverts cette nuit. Tous les Français doivent maintenant comprendre de quel côté sont les enragés. Les travailleurs et leurs organisations doivent être prêts à participer à la lutte que nous allons organiser, pour obtenir la victoire définitive de nos revendications." (J. Sauvageot, 10 mai 68, Combat)
"Si les trotskystes, les moistes et ma grand-mère descendent dans la rue, nous serons tous ensemble. Sinon, qu'ils aillent se faire f..." (Cohn-Bendit, 10 mai 68, Paris-Presse)
"Vive la Commune du 10 mai" (Une affiche à la Sorbonne, 10 mai 68)
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